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lundi, janvier 27 2014

La dangerosité de la pornographie enfin révélée ?

De plus en plus de voix s’élèvent contre l’érotisation de notre environnement. Certains thérapeutes et médecins n’hésitent plus à parler de la pornographie comme d’une « drogue dure », à l’image de la récente enquête parue dans l’hebdomadaire Le Point. Le danger que représente la banalisation de la pornographie serait-il en passe d’être enfin pris au sérieux ?

Benjamin Coste


La pornographie, du plaisir à la souffrance

Le porno, une « drogue dure » ? Dans le cerveau de celui qui en consomme, elle provoque en tout cas des effets similaires, nous apprend la longue enquête du Point consacrée aux dangers de la pornographie et la cyber-dépendance. Le journaliste Ludovic Greiling pointe un à un les risques liés à la dépendance de la pornographie : isolement, dévalorisation de soi-même, problèmes de couple, création chez les plus jeunes d’une fausse image de la sexualité… Un bilan inquiétant tracé par des neuropsychiatres, sexologues et psychothérapeutes qui donnent une grande force à ce constat..  

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Introduction de la théorie du gender à l'école

mardi, janvier 21 2014

En marche pour la vie - 2014



Communiqué de presse – 19 janvier 2014 à 16h30

GRAND SUCCÈS DE LA MOBILISATION POUR LA VIE 40 000 MARCHEURS À PARIS

Les Français ont répondu en grand nombre à l’appel du collectif En Marche pour la Vie, ce dimanche 19 janvier. Venus de toute la France, ils étaient près de 40.000 selon le système de comptage mis en place (évaluation de 16h30). Ce chiffre est un record pour ce rendez-vous annuel organisé depuis dix ans. Il est vrai que le soutien de deux personnalités emblématiques a signifié l’importance de cette marche : le Pape François et Jane Roe, égérie de la légalisation de l’avortement aux Etats-Unis (arrêt de la Cour suprême de 1973 Roe /Wade.

Les revendications étaient claires

1/ Le retrait immédiat des amendements litigieux ajoutés en catimini dans le projet de loi sur l’égalité entre les femmes et les hommes examiné à l’Assemblée dès le 20 janvier et qui ont pour objet:

=> de supprimer l’état de détresse comme condition pour avorter
=> et d’étendre le délit d’entrave à l’avortement.

2/ L‘arrêt des pratiques discriminatoires de sélection prénatale particulièrement développées en France s’agissant des enfants atteints de trisomie 21.

3/ La prise en compte par les pouvoirs publics de la réalité du drame de l’avortement et la mise en place d’une véritable politique d’aide aux femmes enceintes en difficulté qui souhaitent poursuivre leur grossesse.

- See more at: www.enmarchepourlavie.fr

dimanche, janvier 12 2014

Génération YouPorn: comment appréhender le sexe à l'école

On dit d’elle qu’elle est la génération YouPorn, biberonnée aux films X, au sexe virtuel et à la confusion des genres. Raison de plus pour introduire une véritable éducation sexuelle à l’école ?

Julie Luong 
Mis en ligne jeudi 12 décembre 2013  
http://www.lesoir.be/379165/article/styles/bien-etre/2013-12-12/generation-youporn-comment-apprehender-sexe-l-ecole

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mardi, décembre 24 2013

« Après la projection de “Tomboy”, des élèves m'ont dit : “L'homosexualité, c'est péché” » « ON AURAIT DÛ ÊTRE PRÉVENUS »

Projeter Tomboy dans un collège ayant une forte population immigrée, de confession musulmane ou chrétienne, c'est l'occasion rare d'aborder la question du genre et de l'homosexualité,........ 

Le Monde.fr | 24.12.2013 à 09h00 • Mis à jour le 24.12.2013 à 11h07 |Par Clarisse Fabre

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jeudi, décembre 19 2013

Les tristes lendemains du mariage gay, par Matthias Barbier (partie 3)

Les tristes lendemains du mariage gay, par Matthias Barbier (partie 2)

Les tristes lendemains du mariage gay, par Matthias Barbier (partie 1)

samedi, novembre 30 2013

Construction d’une éducation à la vie relationnelle, affective et sexuelle de qualité,

Appel à collaboration du mouvement « Respect Youth Love » qui a vu le jour au début de l’année 2007 ici en Belgique.

Le mouvement « Respect Youth Love » a comme but de favoriser la construction d’une éducation à la vie relationnelle, affective et sexuelle de qualité, au-delà de toute frontière ou de tout clivage, au service des générations futures. Nous comptons pour cela sur l’aide précieuse de toute personne qui, d’une manière ou d’une autre, peut partager son expérience, ses réflexions, ses compétences, avec comme seul critère le sérieux, le réalisme, l’honnêteté et  l’ancrage dans l’humanité la plus profonde et la plus universelle possible. 

Dans le contexte, nous aimerions lancer à tous un appel urgent à collaboration. Notre but est d’éviter tout extrémisme, toute attaque inutile, toute intolérance blessante, et de privilégier le dialogue constructif. Les lois de notre pays étant momentanément ce qu’elles sont, et l’évolution de la société nous amenant au grand galop sur des chemins radicalement nouveaux, il nous semble urgentissime d’accélérer une réflexion intelligente et ajustée sur tous les sujets concernant l’EVRAS. Le « gender » est un des sujets qui devraient être au cœur de cette réflexion, afin qu’on puisse s’assurer que les emballements de quelques-uns ne soit pas à la source de nuisances graves au niveau de la construction physique, psychique, sociale, sexuelle et humaine de notre belle jeunesse. Le principe de précaution exige que nous nous penchions ensemble, tenants et opposants du gender, sur toutes les conséquences de ces bouleversements.

 

« Respect Youth Love » aimerait donc travailler à l’élaboration de systèmes de protection efficaces pour les jeunes : études sérieuses menées en collaboration entre « pro » et « opposants », accompagnements ajustés des jeunes de plus en plus nombreux qui sont éduqués en-dehors de tout modèle à parité masculin-féminin, réflexion de base sur la pertinence des lois et toutes leurs conséquences pour le présent et surtout l’avenir, éclairages d’un maximum de « projecteurs » possibles pour construire l’avenir de la manière la plus ajustée possible, créativité au service du bonheur et de la sécurité de ceux à qui nous imposons ces changements  rapides et dont nous n’avons pas encore évalué sérieusement tout l’impact….

 

Merci de nous contacter sur info@ryl.be si vous pensez pouvoir apporter une petite pierre à cet édifice. Site actuel (à améliorer d’urgence avec votre aide)  : www.ryl.be

 

jeudi, novembre 28 2013

Billet d'humour: Lucien Neuwirth contre Woody Allen..ou quelques questions (im)pertinentes sur la contraception.

La pilule serait à la pharmacologie ce que Jeanne Moreau est au cinéma : un symbole de libération sexuelle en phase de grand déclin.

Depuis mardi, date du décès de Lucien Neuwirth, alias Le père la pilule, ou Lulu la pilule pour les intimes, on se bouscule, à droite comme à gauche, pour rendre hommage à ce grand gaulliste qui avait réussi, en 1967, à faire adopter contre la majorité de son camp, la loi autorisant la contraception. François Hollande a salué, notamment, « un acteur déterminant de l’évolution de la société française ».

Il est vrai qu’avant Lucien Neuwirth, il n’y avait peu ou prou qu’une seule méthode, celle évoquée par Woody Allen : « Un petit mot sur la contraception orale… J’ai demandé à une fille de coucher avec moi et elle a dit non. »

Avec Lucien, tout a changé. Pour les laboratoires d’abord. Auxquels il a ouvert de formidables horizons insoupçonnés : le marché des gens bien portants. Pour la première fois, un médicament allait « soigner » un phénomène purement physiologique, une disposition naturelle et normale. Le champ des possibles, n’est-ce pas, devient dès lors infini ? Eux qui cantonnaient bêtement leurs recherches aux mal-foutus, aux souffreteux, aux accidentés. Mais si l’on peut bricoler aussi les mécaniques qui fonctionnent, alors…

Tout a changé pour les femmes aussi. Pour en finir avec la « peur de l’enfant », elles peuvent désormais « traiter » leur fécondité. Comme un diabète, un asthme chronique. Avec quelques petites contraintes, c’est le lot de toutes les affections au long cours. Selon l’IGAS (Inspection Générale des Affaires Sociales) : « La prise de la pilule pendant la durée de la vie féconde représente la gestion au quotidien de plus de 8.000 comprimés. » Avec la dose d’hormones de synthèse en proportion. Amis du « bio » et de la nature, bonsoir.

Et c’est là, dit-on, que depuis quelques années le bât blesse. Ce que l’on refuse pour le poulet dominical qui trône dans l’assiette, pourquoi se l’infligerait-on ? Le magazine Marie-Claire s’interrogeait déjà en mars 2011, avant même les scandales des pilules de 3e et 4e génération : « Air du temps oblige, des femmes veulent retrouver leur cycle “naturel”. Une sainte alliance écolo-catho est-elle en train de se nouer ? »

Et ce n’est pas tout. Les femmes, ces ingrates, n’étant jamais contentes, certaines soupçonnent Lulu la pilule — ainsi surnommé dès l’âge de 17 ans pour avoir découvert à Londres un contraceptif venu d’Amérique, la Gynomine, qu’il a ensuite généreusement distribué aux copains — d’avoir surtout fait le bonheur… des hommes. Déresponsabilisés (la gestion de la fécondité maîtrisée n’étant pas de leur ressort), déculpabilisés, tranquillisés, installés dans une relation libre-service pour laquelle tous les jours sont désormais ouvrés… tandis que leurs partenaires, comme le montre une étude publiée en 2010 par des chercheurs de l’université allemande de Heidelberg, verraient leur libido perturbée par la pilule de Lulu.

Bref, la pilule serait à la pharmacologie ce que Jeanne Moreau est au cinéma : un séduisant symbole de libération sexuelle en phase de grand déclin. Lucien Neuwirth, en somme, a tiré sa révérence juste à temps. Pour ne pas voir ça.

 

Boulevard Voltaire. La Liberté guide nos pas

http://www.bvoltaire.fr/

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mercredi, novembre 27 2013

Des experts font le lien entre Gardasil et sclérose en plaques: "VIOLATION D'UNE OBLIGATION MANIFESTE DE SÉCURITÉ"

Marie-Océane Bourguignon a reçu sa première injection de Gardasil, le vaccin du laboratoire Sanofi Pasteur contre le cancer du col de l'utérus, en octobre 2010. Elle avait 15 ans. Les picotements dans les jambes ressentis quelques jours après ne l'ont pas vraiment inquiétée. Les troubles survenus après la seconde injection furent en revanche plus sérieux. Marie-Océane a perdu la vue et l'usage de ses jambes pendant quelque temps. A l'hôpital, l'IRM a révélé des lésions neurologiques.

Au départ, les médecins ont hésité entre une encéphalomyélite aiguë et une sclérose en plaques, mais les experts de la commission régionale de conciliation et d'indemnisation des accidents médicaux (CRCI) de Bordeaux ont conclu à "une sclérose en plaques" et fait le "lien entre les deux injections de Gardasil et la survenue" de la maladie de l'adolescente.

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lundi, novembre 18 2013

Farida Belghoul sur la théorie du genre

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L'idéologie du gender ...

Attention, cette vidéo peut sembler choquante et ne reflète pas notre point de vue! Face à une position aussi marquée, RYL propose plutôt le dialogue, l'ouverture et le respect de chacun.
 



 

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mardi, novembre 12 2013

Retirer le Prix Renaudot à Gabriel MATZNEFF militant pro pédophile

Militer pour la Pédophilie n'est pas un Crime puisque les membres du jury ont décerné Le prix Renaudot à un militant pro pédophile, Gabriel MATZNEFF !


Une insulte à tous les enfants victimes !


Sous le couvert d'argumentaires littéraires, il sera relayé par les médias, invité sur les plateaux de télévision, et soutenu dans le milieu littéraire.

Dans son essai, » Les Moins de seize ans », Gabriel Matzneff expose son goût pour les mineurs des deux sexes.

Il use du terme « enfant » pour désigner indifféremment les enfants et les jeunes adolescents, sans évoquer la notion de puberté. Il écrit : « Ce qui me captive, c'est moins un sexe déterminé que l'extrême jeunesse, celle qui s'étend de la dixième à la seizième année et qui me semble être — bien plus que ce que l'on entend d'ordinaire par cette formule — le véritable troisième sexe. En revanche, je ne m'imagine pas ayant une relation sensuelle avec un garçon qui aurait franchi le cap de sa dix-septième année. (...) À mes yeux l'extrême jeunesse forme à soi seule un sexe particulier, unique. ». Gabriel Matzneff revendique pour lui-même la qualification de « pédéraste », soit un « amant des enfants ». Il dénonce par ailleurs le fait que le « charme érotique du jeune garçon » soit nié par la société occidentale moderne « qui rejette le pédéraste dans le non-être, royaume des ombres ». « Un enfant dit-il, appartient à ses parents et à ses maîtres. Ce sont eux qui en ont l'usage exclusif. Pourtant, c'est nous que ces nauséabonds personnages accusent de détournement de mineur ». Sommes- nous donc de nauséabonds personnages, pour vouloir protéger nos enfants des gens que moi, je qualifie de prédateurs sexuel et d'abuseurs de nos jeunes enfants, naïfs de ce que représente une telle perversion?

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mercredi, novembre 6 2013

« Un tiers des Belges est concerné par le problème de l’éjaculation précoce. »

« Un tiers des Belges est concerné par le problème de l’éjaculation précoce. » Telle était la nouvelle qui faisait hier la une d’une bonne partie des sites d’information de notre Royaume. La DH a même consacré ce matin une double page avec des photos du meilleur goût à cette nouvelle incroyable. Car oui, un Belge sur trois ça fait beaucoup. Trop pour être vrai ?

Le journal De Morgen a enquêté et mis en doute le sérieux de l’étude (et épinglé au passage certains de ses confrères qui ont relayé sans nuance l’information). L’étude en question a été réalisée par l’institut de sondage IPSOS et commandée par une entreprise pharmaceutique, Menarini. Et il se trouve que, par le plus grand des hasards, cette entreprise commercialise un médicament contre l’éjaculation précoce. L’étude qui n’avait rien de scientifique, était un sondage d’opinion sur la perception qu’ont les gens des problèmes érectiles et, comme le signale De Morgen, contredit une étude de l’Université de Louvain selon laquelle le problème ne concernerait que 3,7 % des hommes. Quasi 10 fois moins. En soi mener des enquêtes de perception n’est pas un problème, mais quand il s’agit de questions de santé et que le commanditaire est une entreprise pharmaceutique, la démarche est très limite.

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vendredi, octobre 11 2013

"Concours de mini-miss: la pointe de l'iceberg" Bernard De Vos: Délégué général aux droits de l'enfant

Ce retour sur le devant de la scène médiatique des mini-miss est l’occasion idéale de mener, chez nous, une réflexion plus large sur l’hypersexualisation (1) de notre société. Ces concours sont particulièrement redoutables, d’abord parce qu’ils imposent une concurrence, parfois violente, féroce, et ensuite parce qu’ils créent une hiérarchie superficielle et dérisoire en fonction du physique des enfants. Mais il serait trop simple et réducteur de considérer que ces manifestations glauques sont la cause de l’hyper-sexualisation de l’espace public et de notre société pourtant dite “civilisée”.

A bien y réfléchir, les concours de mini-miss ne sont que la pointe émergée de l’iceberg. Ces compétitions sont révélatrices des évolutions de notre société au cours de la dernière décennie. Evolutions fulgurantes et peu profitables à la cause des femmes, et moins encore à celle des enfants, contraints de se comporter en mini-adultes, à entrer dans une réalité qui n’est pas la leur et qui les fragilise lourdement.

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Un enfant de primaire sur deux confronté à la pornographie

Une étude réalisée en Belgique révèle qu’un enfant de 11 ans sur deux a déjà regardé un film pornographique. Une pratique qui entraînerait une vision tronquée de la sexualité, selon une psychologue interrogée dans Le Soir.

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Féminin, masculin ou neutre…

Le 1er novembre prochain, l’Allemagne deviendra le premier pays européen à reconnaître officiellement l’existence d’un troisième genre. Il sera désormais possible d’inscrire sur les certificats de naissance des nouveau-nés « sexe indéterminé ». Féminin, masculin ou neutre, retour sur un phénomène appelé « gender ».

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Les concours de beauté "mini-miss", une pratique fréquente en Wallonie

 Le monde politique belge s’active pour les interdire. Les organisateurs se défendent.

Faut-il interdire les concours de mini-miss ? Chez nos voisins français, la réponse est oui. Bientôt, l’organisation de concours de beauté pour les enfants de moins de 16 ans y sera sanctionnée d’une peine de prison de deux ans, ainsi qu’une amende de 30 000 euros. Approuvé la semaine dernière au Sénat, l’amendement de la centriste Chantal Jouanno doit encore passer le cap de l’Assemblée nationale. Cependant, les organisateurs de ce type de concours ont trouvé une parade : ils comptent déplacer leurs activités à l’étranger, notamment en Belgique. La délocalisation des concours de beauté français est une option réaliste : près de la moitié des concours de mini-miss est organisée dans la région du Nord/Pas-de-Calais, limitrophe à la Wallonie. En déménageant, les concours français profiteraient de l’absence de législation spécifique sur le sol belge, où les concours de mini-miss sont régis par la loi contre le travail des enfants.

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samedi, mai 25 2013

Qui décide vraiment pour nos enfants?

 

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