Retirer le Prix Renaudot à Gabriel MATZNEFF militant pro pédophile
Par Benedicte De Wagter le mardi, novembre 12 2013, 09:36 - général - Lien permanent
Militer pour la Pédophilie n'est pas un Crime puisque les membres du jury ont décerné Le prix Renaudot à un militant pro pédophile, Gabriel MATZNEFF !
Une insulte à tous les enfants victimes !
Sous le couvert d'argumentaires littéraires, il sera relayé par les médias,
invité sur les plateaux de télévision, et soutenu dans le milieu littéraire.
Dans son essai, » Les Moins de seize ans », Gabriel Matzneff expose son goût
pour les mineurs des deux sexes.
Il use du terme « enfant » pour désigner indifféremment les enfants et les
jeunes adolescents, sans évoquer la notion de puberté. Il écrit : « Ce qui me
captive, c'est moins un sexe déterminé que l'extrême jeunesse, celle qui
s'étend de la dixième à la seizième année et qui me semble être — bien plus que
ce que l'on entend d'ordinaire par cette formule — le véritable troisième sexe.
En revanche, je ne m'imagine pas ayant une relation sensuelle avec un garçon
qui aurait franchi le cap de sa dix-septième année. (...) À mes yeux l'extrême
jeunesse forme à soi seule un sexe particulier, unique. ». Gabriel Matzneff
revendique pour lui-même la qualification de « pédéraste », soit un « amant des
enfants ». Il dénonce par ailleurs le fait que le « charme érotique du jeune
garçon » soit nié par la société occidentale moderne « qui rejette le pédéraste
dans le non-être, royaume des ombres ». « Un enfant dit-il, appartient à ses
parents et à ses maîtres. Ce sont eux qui en ont l'usage exclusif. Pourtant,
c'est nous que ces nauséabonds personnages accusent de détournement de mineur
». Sommes- nous donc de nauséabonds personnages, pour vouloir protéger nos
enfants des gens que moi, je qualifie de prédateurs sexuel et d'abuseurs de nos
jeunes enfants, naïfs de ce que représente une telle perversion?
Saviez-vous que Matzneff estime qu'« il
n'y a pas un homme normalement constitué qui lise le croustillant récit des
amours de Tonton Lucien (histoire d'un quinquagénaire qui avait, au cours de «
ballets roses », abusé de fillettes âgées de onze à quinze ans), sans bander et
songer qu'il aurait bien aimé être à sa place ». Quand on lit ce genre
d'affirmations, je me demande comment réagissent les hommes à la lecture de
telles accusations et comment Matzneff, n'a pas encore eu de procès en bonne et
dû forme de la part de la gente masculine. Ne peut-on pas le qualifier de
consommateur du sexe quand il affirme « En outre, si violence il y a, la
violence du billet de banque qu'on glisse dans la poche d'un jean ou d'une
culotte (courte) est malgré tout une douce violence. Il ne faut pas charrier.
On a vu pire ».
Présidente de l'association La Mouette, association de défense et de protection
de l'enfant, j'ai été scandalisée et je reste scandalisée par ses propos
fallacieux qui ramènent l'enfant à un « prostitué potentiel », une honte
diffamatoire sur la moralité et les désirs propres d'un enfant.
Le psychiatre Bernard Cordier estimait en 1995 qu'« un écrivain comme Gabriel
Matzneff n'hésite pas à faire du prosélytisme. Il est pédophile et s'en vante
dans des récits qui ressemblent à des modes d'emploi.
Or cet écrivain bénéficie d'une immunité qui constitue un fait nouveau dans
notre société. Souvenez-vous, lorsque la Canadienne Denise Bombardier l'a
interpellé publiquement chez Pivot, rappelant le « Droit à la personne ». C'est
elle qui, dès le lendemain, essuya l'indignation des intellectuels.
Lui passa pour une victime : un comble ! (...) On ne prétend pas que ce type
d'écrits sème la pédophilie, mais il peut la cautionner et faciliter le passage
du fantasme à l'acte chez des pédophiles latents. Ces écrits rassurent et
encouragent ceux qui souffrent de leur préférence sexuelle, en leur suggérant
qu'ils ne sont pas les seuls de leur espèce et leur donnent un statut de
victimes. D'ailleurs, les pédophiles sont très attentifs aux réactions de la
société française à l'égard du cas Matzneff. Les intellectuels complaisants
leur fournissent un alibi et des arguments : si des gens éclairés défendent cet
écrivain, n'est-ce pas la preuve que les adversaires des pédophiles sont des
coincés, menant des combats d'arrière-garde ?
Pour l'universitaire américain Julian Bourg, la distinction opérée ainsi par
Matzneff relève d'un désir de défendre « les pédophiles bien intentionnés comme
lui », ainsi tout est dit.
C'est une insulte à tous les enfants victimes et cela me choque .
Annie GOURGUE
présidente de l'association la Mouette
C'est une honte que cet homme ai pu avoir un prix !
Demandons qu'il lui soit retiré, que son livre soit interdit, enfin qu'une enquête sérieuse soit faite et qu'il soit jugé et condamné pour ses éventuels passage à l'acte !
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