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vendredi, novembre 11 2016

La contraception réduit-elle le nombre d'avortements ?

Le 26 septembre est la « Journée mondiale de la contraception », à cette occasion Claire de La Hougue et Grégor Puppinck exposent le paradoxe de la contraception, selon lequel le taux d’avortement augmente proportionnellement au taux de contraception[1]. Ils ont participé à la rédaction de l’ouvrage « Droit et prévention de l’avortement en Europe », LEH Edition, qui paraît cette semaine.......

 Enseigner qu’une sexualité responsable consiste principalement dans l’usage de moyens techniques permettant d’éviter d’avoir à assumer les conséquences naturelles de ses actes est une forme d’éducation à l’irresponsabilité.

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vendredi, avril 22 2016

Reportage : "L'IVG n'est pas un acte anodin"

mercredi, février 24 2016

Avortement, des femmes témoignent

Reportage de Reinformation.tv réalisé par Armel Joubert des Ouches

jeudi, mars 21 2013

Un bébé, deux pères et quatre mères

Qui peut décider de la vie et de la mort du fœtus ?

Bébé S., comme la surnomment les médias américains pour protéger son identité, est une fillette à la généalogie pas comme les autres. Son faire-part de naissance aurait pu compter six signatures. Côté maternel : une donneuse d’ovule anonyme, la mère porteuse, la mère commanditaire et une maman adoptive. En comparaison, la filiation paternelle paraît presque simple : un père génétique et un père adoptif. Cette "famille" est le résultat d’une histoire rocambolesque, comme seuls les Etats-Unis peuvent en produire.

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dimanche, juin 17 2012

« On veut réussir pour lui » Elodie, maman étudiante

 

Maman de champion Élodie avait 19 ans et était encore étudiante lorsqu’elle est tombée enceinte et a eu Lenny, son petit garçon. Aujourd’hui Lenny est en CE1 et sa maman a bien voulu nous raconter son histoire.

Lorsqu’Élodie tombe enceinte, elle a 19 ans et est en seconde année d’Art du spectacle Cinéma. « C’était une surprise, je n’avais pas prévu ça ! J’étais assez perturbée au départ, car c’était une bonne nouvelle à laquelle je ne m’attendais pas, mais j’étais déjà sûre que je voulais le garder. »

Élodie appréhende surtout la réaction de ses parents. « J’étais assez stressée surtout par rapport à mes parents ; je savais qu’ils n’allaient pas apprécier étant donné mon jeune âge ; je n’avais pas suivi le schéma que tous les parents souhaitent : mariage puis bébé à 30 ans. En même temps, j’étais heureuse, c’était d’ailleurs un sentiment bizarre. Je me suis sentie tout de suite maman, et, lors de la première écho, ce fut la révélation. J’ai dévalisé les boutiques pour le bébé ! »

Comment gérer le regard des autres lorsque l’on a un enfant aussi jeune ? « Mes plus proches amies sont elles aussi devenues mamans assez jeunes. Je peux dire que j’ai été beaucoup soutenue par mes amis,  les camarades de fac, même ceux qui pensaient que je faisais peut-être une erreur. Quant à mes parents, ils n’ont pas vraiment bien réagi au départ. En fait, leur crainte était surtout que j’arrête mes études, alors que cette idée ne m’a pas traversé une seule fois l’esprit ! »

Sa grossesse se passe bien, et Élodie a la chance d’être bien entourée ; elle continue ses cours presque jusqu’à terme. « J’ai continué mes cours jusqu’à 8 mois et une semaine, juste avant les vacances scolaires. Mon fils est né durant les vacances de Noël, c’était parfait. Etant donné que les partiels se déroulent entre décembre et janvier, je m’étais organisée, en amont, avec certains profs, qui étaient eux aussi très compréhensifs. Certains m’ont demandé des devoirs, des dossiers à faire chez moi pour compenser les partiels. J’ai ensuite repris les cours 15 jours après mon accouchement, c’est ce qu’on appelle un congé mat’ express ! En fait, j’ai dû rater seulement 15 jours de cours maximum. Mes camarades avaient photocopié les cours à mon retour. C’était très sympa ! Les profs étaient sympas aussi, ce fût vraiment une bonne période. »

L’accouchement peut être un moment difficile. Surtout lorsque l’on est aussi jeune. Mais ce n’est pas ainsi qu’Élodie l’a vécu. « J’ai adoré la maternité, un vrai moment magique ; ma chambre était toujours remplie d’amis et de mes proches. Je passais mon temps à contempler mon bébé. En fait, c’était encore « irréel ». Mais une fois à la maison, j’ai eu un peu peur. À partir de ce moment là, j’ai perdu une part d’insouciance. J’ai toujours peur pour mon enfant, mais bon, je crois que c’est le cas de toutes les mamans ! »

Comment s’est passé le retour à la maison, l’organisation, la reprise des cours ? « J’habitais encore chez ma mère au tout début. Je pense avoir bien géré. En fait, cette naissance m’a plus boostée qu’autre chose. De nature ambitieuse, cela n’a fait qu’amplifier cette partie de ma personnalité. Au tout début, lorsque j’ai dû le confier, il n’avait que deux semaines ! Heureusement, ma mère était présente. Puis j’ai eu une place en halte-garderie combinée avec une nounou (une voisine) puis, le grand soulagement…  la crèche ! J’avais déménagé, je faisais donc de grands aller-retour mais je n’avais pas le choix ! »

Élodie entame donc une nouvelle vie pleine d’occupations, et prenante. « Franchement, je ne me sentais pas plus fatiguée que ça. C’est surtout que je ne m’en rendais pas compte… J’ai beaucoup maigri après ma grossesse. Je pense que cela révélait en fait une grosse fatigue. Mais j’avais un bébé docile, il était sage, encore une chance ! Ma mère, ma sœur, un très gentil copain et ma meilleure amie étaient très présents. »

Elle assure donc son rôle de maman tout en suivant ses études avec encore plus de volonté et de motivation. « Je n’ai pas pensé un seul instant à arrêter mes études. Au contraire. J’ai beaucoup entendu autour de moi : c’est fini pour elle… mais ces gens là me motivaient plus qu’autre chose. Pour moi, concilier les deux était plus que compatible. Il est vrai que certaines jeunes femmes arrêtent, mais il y a des aides financières, comme lorsque l’on est mère au foyer, alors pourquoi arrêter ? Je pense qu’il faut toujours essayer dans la vie. Comme je le dis souvent, il est, selon moi, plus simple d’être maman étudiante (quand on a un soutien de la part de son entourage bien sûr) que maman au boulot. On laisse son enfant à 8h et on le récupère à 19h, on ne le voit pas. Dans ma filière, j’avais le temps, un peu moins lorsque j’ai continué ensuite en contrat professionnel. »

Côté finances, le fait de ne pas avoir d’emploi stable est-il une source d’angoisse pour élever un enfant ? « Étant donné que j’étais chez mes parents, les premiers mois, j’ai pu faire beaucoup d’économies. Ensuite, entre la bourse, les APL, les petits boulots ou le stage, je m’en sortais, la crèche étant en fonction des revenus(ce qui est beaucoup mieux que la nounou lorsque l’on n’a pas un gros salaire). Il y a beaucoup d’aides en France ; des tarifs spéciaux pour les petits revenus, par exemple pour l’électricité, le téléphone… Et puis, ma famille a toujours été là en cas de souci. J’arrivais à faire plus d’économies qu’avant ! Ensuite, j’ai fait une formation en alternance, donc j’avais un « vrai » salaire, le Smic. »

Être maman lorsque ses camarades de promo sont seulement étudiants, cela créé t-il un décalage ou une frustration ? Comment profiter de sa vie de jeune fille qui a aussi envie de faire la fête ? « Tout au début, je sortais assez, ma mère étant très présente. Ensuite, lorsque l’on passait des soirées chez des amis, Lenny était installé dans une chambre à part. En fait, ce que je ne pouvais plus faire, c’était les sorties à l’improviste ou des vacances, cela me frustrait parfois. Mais sinon, j’essayais toujours de m’organiser, cela m’arrivait tout de même d’aller en discothèque ! »

Gérer la fatigue d’une vie aussi trépidante n’est pas toujours simple.
« J’étais surtout fatiguée lors de mes périodes de stages ; en effet, je travaillais, j’avais les cours et le petit. Pendant neuf mois, j’ai même eu des cours du soir dans une prépa. Mais je n’avais pas cours tous les jours, et pouvais profiter davantage de lui, être parfois présente à 16h30. Ce qui n’est pas le cas aujourd’hui. Je dois prendre des congés, et je viens de négocier un 90 % pour le mercredi. Et puis à la fac, nous sommes chanceux, nous avons toutes les vacances scolaires, ce qui est très pratique lorsque l’on a un enfant. Franchement, c’était une bonne période. Mon gros ventre et moi, puis mon fils, étions les coqueluches de la promo ! »

Élodie n’échangerait toutes ces expériences pour rien au monde.
« Je serais prête à recommencer.  Et puis, dans ma tête, si je dois avoir un autre enfant c ‘est avant 30 ans ! J’adore le fait d’avoir cette proximité avec mon enfant, cette jeunesse tout en étant maman. C’est une relation enrichissante. »

Élodie a-t-elle un conseil à donner aux mamans ou futures mamans étudiants ? « Mon conseil : s’écouter, persévérer, y croire et essayer, avant de dire que c’est impossible… Et ainsi, on se rend compte, que c’est largement faisable. Pour moi, avoir un bébé ne peut être qu’une source de motivation, surtout lorsque l’on est étudiant. On veut réussir pour lui !

Yahoo ! Pour Elles .14/06/2012

Maman de champion v2 – jeu. 14 juin 2012 14:15 HAEC

 

Commentaire de RYL :

Il est bon parfois de faire circuler un témoignage à contre-courant de ce qu’on entend trop souvent…

mardi, avril 24 2012

François Hollande propose un centre d'IVG dans tous les hôpitaux

L'IVG s'est invitée dans la campagne électorale à l'occasion de la Journée internationale des droits des femmes. François Hollande a proposé lors d'un meeting à Reims (Marne), jeudi 8 mars, que tous les centres hospitaliers "puissent être dotés d'un centre d'interruption de grossesse". Il a également rappelé qu'il voulait que l'IVG soit "remboursée à 100 %". Le propos, inspiré des revendications des associations féministes, était destiné à répondre à la polémique lancée par Marine Le Pen qui souhaite limiter le remboursement de l'IVG et stigmatisant les "avortements de confort".

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samedi, mars 17 2012

"L'avortement, un nouvel enjeu idéologique"

Pour sa 300ème édition, l’émission de Jean-Pol Hecq(1) rassemblera des intervenants de différentes sensibilités pour parler de l’avortement  sous le titre « L’avortement, un nouvel enjeu idéologique ? ». En contre-feu de la loi dépénalisant l’avortement, les mouvements pour la vie font entendre une autre voix. La Marche annuelle qui aura lieu le dimanche 25 mars est exemplative. Sur le plateau, un panel équilibré entre les « pour » et les « contre », avec Françoise Kruyen, Julia Laot; Carine Brochier, et Anthony Burckhardt.

A Bruxelles, le week-end des 24 et 25 mars prochains verra se dérouler deux manifestations à propos de l’avortement. La première sera en faveur du libre choix et du maintien de la législation actuelle ; la seconde réclame exactement l’inverse… Comment en est-on arrivé là, 22 ans après la dépénalisation partielle de l’avortement en Belgique ?

Depuis les années 70, des médecins luttaient pour que la législation belge sur l’avortement, qui était l’une des plus restrictives en Europe, rejoigne celle des pays les plus avancés. A l’époque, en Belgique, subir ou pratiquer un avortement était puni par le code pénal et, selon les arrondissements judiciaires, sévèrement réprimé ou au contraire laissé pratiquement sans suite. C’est finalement le 3 avril 1990 que la loi dépénalisant partiellement l’avortement sera votée. Depuis lors,  un peu partout, on assiste à une montée de mouvements qui veulent un retour à une législation répressive. En Belgique, c’est au printemps 2010 que s’est déroulée une première manifestation réclamant l’abrogation de la loi Lallemand-Michielsen. Mais dans beaucoup d’autres capitales européennes des actions de ce genre ont également lieu ; parfois, d’ailleurs, ce sont les mêmes manifestants qui vont de l’une à l’autre. Ils sont ouvertement soutenus par certains milieux religieux, au premier rang desquels figure l’Eglise catholique mais des représentants d’autres confessions les rejoignent de plus en plus souvent.

A l’opposé, la mouvance « libre-choix », soutenue notamment par les organisations de gauche et les mouvements laïques, commence à se réveiller et organise à son tour des actions pour défendre le droit à l’avortement. Ambiance en perspective sur le plateau : avec Françoise Kruyen, gynécologue, membre de la Commission nationale d’évaluation de la loi sur l’IVG ; Julia Laot, porte-parole de la « Plateforme pour le droit à l’avortement » ; Carine Brochier, membre de l’asbl « Institut Européen de Bioéthique » et Anthony Burckhardt, président de l’asbl « Génération pour la vie ».

La troisième Marche pour la vie à Bruxelles se tiendra cette année le dimanche 25 mars à 14h. Le départ se fera du Mont des Arts vers la Place Poelaert et le Palais de Justice de Bruxelles. La Marche pour la Vie se veut une manifestation familiale et citoyenne, indépendante de tout parti politique. Elle est organisée par un comité d’étudiant(e)s et jeunes professionnels, néerlandophones et francophones.

JPH/BL

InfoCatho.be  samedi 17 mars 2012

 

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samedi, mars 10 2012

TROISIEME MARCHE POUR LA VIE soutenue par le groupe AGAF

Action pour la famille soutient la Marche pour la vie organisée par un collectif d’étudiants qui partira le dimanche 25 mars à 14h du Mont des Arts (près de la statue du roi Albert I) à Bruxelles. Pour plus d’informations http://www.marchforlife.be

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samedi, novembre 5 2011

Articles de San José: l'avortement n'est pas un droit !

Trente experts du droit international, des relations internationales, de la santé publique et de la gouvernance ont rédigé ensemble les articles qui visent à contester les prétentions selon lesquelles il existerait en droit international un droit à l’avortement. Les gouvernements sont en effet l’objet de pressions croissantes de la part des comités de l’ONU qui souhaitent que ces pays libéralisent leurs législations dans le domaine de l’avortement. Leur argument consiste à dire qu’un tel droit trouve sa source dans les traités internationaux existants et dans le droit international coutumier. Le prestigieux groupe des signataires des articles de San José montre clairement que cet argument est infondé.

http://www.sanjosearticles.com/wp-content/uploads/2011/10/San-Jose-Articles-french..pdf

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vendredi, octobre 7 2011

Une pilule abortive en un seul clic

Un kit IVG est disponible sur le net. En toute illégalité. Attention : danger !

Sur internet, il s’appelle sobrement le "MTP kit" - pour "medical termination of pregnancy" : interruption médicale de grossesse. On le trouve en vente à 87 dollars sur une pharmacie en ligne, présenté comme "une option pour les femmes qui sont enceintes 8 semaines ou moins" (sic). La version "Herbal" [?], à base de plantes, s’acquiert pour 108 $. Un autre site (eurodrugstore.eu) le propose à 34,1 euros, livraison ("garantie dans discret enveloppe", re-sic) comprise dans les 2 à 4 jours.

Comme d’autres médicaments contrefaits, les pilules abortives pullulent désormais sur le web. Avec tous les risques que cela comporte pour les femmes qui seraient tentées d’y recourir pour mettre fin, discrètement, à une grossesse non désirée.

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jeudi, mai 26 2011

Avortement: des femmes témoignent

mardi, mars 29 2011

Entre le Mont des Arts et la Place d’Espagne, il y a place pour une table ronde !

Pour ceux qui, comme beaucoup d’entre nous, se sont rendus à Bruxelles ce dimanche pour donner leur opinion sur l’avortement, ils auront remarqué que l’urbanisme bruxellois a installé, en-dessous de la gare centrale, un superbe rond-point. Cela m’a fait penser qu’entre les « pour » et les « contre », il faudrait de toute urgence faire place pour une « table ronde » !

Il est grand temps de mettre de côté les affrontements stériles et les slogans insultants, pour se mettre sérieusement au travail. Au service de nos jeunes et de leur avenir.

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lundi, mars 28 2011

Promotion de l'imagination dans l'amour

Christian Laporte La Libre Belgique

Mis en ligne le 28/03/2011

Dimanche, plus de 3 000 personnes ont marché pour la vie à Bruxelles. Selon elles, aucune loi ne suscite de telles réactions, 21 ans après son vote.

Le succès de notre mobilisation - 3 000 participants selon la police, soit le double de l’an dernier -, dont un très grand nombre de jeunes, montre qu’il est temps de mener un vrai débat autour de l’application de la loi sur l’avortement en Belgique. Il faut cesser les caricatures actuelles, et que ceux qui défendent l’avortement nous montrent qu’ils pratiquent vraiment la tolérance dont ils se revendiquent en se mettant à table avec nous. Je pose la question aux journalistes présents: qui sont les réacs? Ceux qui veulent que l’on puisse réaborder sereinement la question ou ceux qui campent sur leurs positions?"

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lundi, mars 21 2011

DIMANCHE 27 MARS 15h MONT DES ARTS (PLACE ROYALE). MARCHE POUR LA VIE

Plus de vingt ans après la dépénalisation de l’avortement en Belgique, le nombre d’avortements continue à augmenter : 19.421 en 2009, auxquels il faut ajouter environ 3000 avortements de femmes belges à l’étranger. En outre, la proportion de très jeunes femmes demandant une interruption volontaire de grossesse (IVG) est en progression constante.


De plus en plus de femmes témoignent des difficultés personnelles liées à la décision d’interrompre une grossesse non désirée, des diverses pressions qui ont souvent conduit à un choix que beaucoup regrettent ensuite et des séquelles psychologiques possibles qui peuvent persister pendant bien des années. Mais ce sujet reste tabou : il fait l’objet d’une véritable dénégation du politique pour des raisons idéologiques.


Afin de sensibiliser la société et le monde politique sur cette problématique et plus généralement sur le respect de la vie humaine,  Action pour la famille asbl soutient la Marche pour la vie organisée par un collectif d’étudiants qui partira le dimanche 27 mars à 15h à la place Royale (Mont des Arts) à Bruxelles.

 

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mardi, février 22 2011

Circulaire IVG

Circulaire IVG : Etat neutre, administration laïque ?

Pierre-Paul Boulanger, président de l’UFAPEC; Etienne MICHEL, directeur général du SeGEC.

Mis en ligne le 21/02/2011- La Libre Belgique

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mardi, février 1 2011

Prévention de grossesses indésirées chez les jeunes : interview

Va paraître bientôt sur le blog http://huitmois.hautetfort.com un interview réalisé par Mary Dubois dans le cadre d'une enquête pour le Délégué aux Droits de l'Enfant. Cette enquête a pour but de mieux comprendre le phénomène des grossesses indésirées chez les adolescentes, et de dégager des pistes pour une meilleure prévention.

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dimanche, mars 28 2010

Marche pour la vie : 28 mars 2010 à Bruxelles

 

 

20 ans déjà ! 3 avril 1990 : loi sur la dépénalisation de l’avortement

20 ans que certains célèbrent et fêtent ce « progrès de l’humanité », et que d’autres s’en désolent et pleurent amèrement un retour à une situation où le respect de la vie est bafoué !

Ne serait-il pas temps, après 20 ans, de rechercher la nuance et d’essayer de se mettre d’accord sur une attitude commune de bon sens empreint de réalisme ?

 

Permettons-nous de poser quelques questions qui nous taraudent :

-S’il ne s’agissait vraiment que de dépénaliser, ne pourrait-on se réjouir de ne pas imposer une peine supplémentaire à une mère qui a déjà subi le traumatisme d’un avortement ? Qui sommes-nous pour juger? L’accueil, et la compréhension devraient toujours primer !

-De même, dans les cas où cette détresse est vraiment extrême, et où la décision de la mère est irrévocable, n’est-il pas essentiel de tout faire pour que l’intervention se passe dans les meilleures conditions, et préserve autant que faire se peut la santé de la femme ?

 

-Mais que dire d’autre part des études sérieuses qui montrent qu’un pourcentage énorme de femmes recourent à l’avortement en remplacement de la contraception ?

-Que dire du fait que le nombre d’avortements ne diminue pas malgré toutes les campagnes de « prévention » ? Et surtout qu’il touche de plus en plus de jeunes ?

-Que dire de toutes les études sur les séquelles physiques ou psychologiques, soigneusement niées ou occultées (dépressions, syndrôme post-avortement, syndrôme de l’enfant survivant, augmentation du risque de cancer du sein, du risque de prématurité……..) ?

-Que dire de la montée de la violence chez les jeunes, chez qui la notion de respect de la vie semble s’émousser ?

-Pourquoi cette disparité entre des attitudes incompréhensiblement opposées (on se bat avec des moyens énormes pour faire démarrer ou sauvegarder certaines petites vies, et on en supprime d’autres avec désinvolture) ? N’est-il pas grand temps de se mettre d’accord sur le status du fœtus ?

-………

 

Ce ne sont que quelques questions parmi mille autres. Mais, pour nous, il est grand temps d’évaluer nos décisions avec sagesse et en-dehors de toute idéologie !

Pour Respect Youth Love, l’avenir est en tout cas à la PREVENTION ! Tout faire pour ne pas devoir arriver à des avortements ! Aider les jeunes à découvrir en profondeur le respect de l’autre, la responsabilité, le sens des gestes et la conscience de leurs conséquences, la connaissance du corps et la maîtrise de sa fécondité, le respect de la vie sous toutes ses formes, la conscience de la merveille qu’elle représente dès son commencement, l’éducation non seulement sexuelle mais aussi affective, le sens de la relation et de l’amour partagé…...

samedi, mars 27 2010

Les femmes et l’avortement – La conscience ne meurt jamais

« L’avortement est devenu la principale cause de mortalité en Europe. » Présenté le 2 mars dernier au Parlement européen, le rapport de l’Institut de politique familiale (IPF) donne froid dans le dos : 2,9 millions d’avortements en Europe pour la seule année 2008 ! Telle est la source de cet « hiver démographique » qui glace peu à peu l’âme de notre continent réputé humaniste. Face à l’océan des enfants perdus, comment ne pas être saisi d’angoisse ?

 

On n’a pas oublié le cri de Mère Teresa recevant en 1979 le prix Nobel de la paix : « L’avortement est le principal danger menaçant la paix mondiale ». Il menace aussi, en toute femme, la paix du cœur et de la conscience.

Car la conscience ne meurt jamais. Le discours dominant martèle qu’il s’agit de « liberté », voire qu’il y va du « droit » des femmes. Mais derrière ces grands mots, que de souffrances niées, que d’injustices faites à celles à qui n’est proposé aucun chemin d’amour et de maternité !

À cet égard, le sondage Ifop/Alliance pour les droits de la vie, publié le 4 mars par notre confrère La Croix, sonne comme un appel au secours. Les mêmes femmes qui commencent par se déclarer à 85 % favorables au droit à l’IVG – et l’on mesure ici les effets d’une propagande qui amène à considérer comme un droit acquis ce que la loi française a acté comme une exception – laissent filtrer leur profond malaise dans toutes les réponses qui suivent. Pour 83 % d’entre elles, « l’avortement laisse des traces psychologiques difficiles à vivre pour les femmes », pour 61 % « il y a trop d’avortements dans notre pays », 83 % souhaitent que « figure dans le livret d’information pré-IVG le détail des aides aux femmes enceintes et aux jeunes mères », etc.


« Sentinelles de l’invisible », les femmes ne peuvent pas faire taire longtemps leur révolte intime.

 

La contradiction inattendue de ce sondage est un espoir. Elle montre que le débat n’est pas clos, et témoigne d’une vérité humaine plus forte que toutes les propagandes : le caractère insubmersible de la conscience. « Sentinelles de l’invisible », selon la belle formule de Jean-Paul II à Lourdes en 2004, les femmes – même les plus conditionnées – ne peuvent pas faire taire longtemps leur révolte intime.

On ne peut ignorer cet appel. Il est urgent de mettre en œuvre, comme le demande le rapport de l’IPF, des politiques publiques vigoureuses d’aide à la femme enceinte et à la maternité.  Le contraire de ce que prévoit  la ministre de la Santé Mme Bachelot en portant la rémunération des actes d’IVG, pour les médecins, de 300 à 450 €.

 

 

Marie-Joëlle Guillaume

Famille Chrétienne 13/03/2010

 

mercredi, mars 24 2010

Marche pour la Vie, le 28 mars

23 Mars 2010 - DEPECHES CATHOBEL - BELGIQUE - Bruxelles

Pour construire "ensemble une nouvelle culture de Vie".A l'initiative de sept jeunes étudiants, première grande marche silencieuse pour la Vie, à Bruxelles. Celle-ci se déroulera le dimanche 28 mars, dès 14h30, au départ de la Place Royale.

Par leur présence, les participants sont invités à exprimer leur solidarité et leur compassion envers les femmes qui ont été contraintes d'avorter et "de protester au nom des enfants à naître qui ont été sacrifiés". La marche se veut pacifique, silencieuse, apolitique et pluraliste.

Les organisateurs de la marche retiennent que 18 033 avortements sont comptabilisés pour la seule année 2007 en Belgique : "Il s'agit du chiffre officiel révélé par le troisième rapport de la Commission d'évaluation de la loi dépénalisant l'interruption de grossesse. La même commission souligne que "la lecture des rapports (des centres de planning et des hôpitaux) montre que le choix de l'interruption volontaire de grossesse est souvent dicté par une précarité sociale, économique, ou une pression culturelle. Si elles en avaient la possibilité, les femmes auraient mené leur grossesse à terme"."

Plus d'information sur le site : http://www.28march2010.be/

Ctb/cp/at

dimanche, avril 19 2009

Campagnes de prévention : efficaces ou...toxiques ?

Respect Youth Love a vu le jour à l'occasion de la grande campagne belge "Laura.be" dont RYL remettait l'approche en question. Depuis lors, certaines études ont été menées, entre autres par le groupe néérlandophone "Jongeren Info Life". Celui-ciconstate que, non seulement le nombre de grossesses indésirées augmente de manière inquiétante chez les plus jeunes, mais également que la plupart des grandes campagnes de ce genre sont suivies d'un pic d'augmentation des avortements d'adolescents. Cette approche encouragerait-elle l'activité sexuelle chez les jeunes au lieu de la freiner?

 

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