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dimanche, juin 1 2014

Sexualité : un étudiant sur trois ne sort pas couvert

05 AVRIL 2014 |  PAR JEAN-MARC DE JAEGER

En dépit des campagnes de sensibilisation, l’usage du préservatif n’est pas systématique chez les jeunes. Une tendance inquiétante que nous révèle une récente enquête de la mutuelle étudiante SMEREP.

Insouciants, les jeunes ? Alors que le Sidaction mène actuellement sa vingtième campagne d’appel aux dons, une étude de la mutuelle étudiante SMEREP publiée jeudi reflète le comportement des jeunes vis-à-vis du préservatif. Et les chiffres ont de quoi surprendre : un étudiant sur trois (30% ; 39% chez les filles) ne l’utiliserait jamais lors de ses rapports sexuels, tandis qu’ils seraient 41% à y avoir systématiquement recours.

L’étude a été réalisée du 4 au 8 mars 2013 auprès de 700 étudiants franciliens et de 500 étudiants de province.

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jeudi, novembre 28 2013

Billet d'humour: Lucien Neuwirth contre Woody Allen..ou quelques questions (im)pertinentes sur la contraception.

La pilule serait à la pharmacologie ce que Jeanne Moreau est au cinéma : un symbole de libération sexuelle en phase de grand déclin.

Depuis mardi, date du décès de Lucien Neuwirth, alias Le père la pilule, ou Lulu la pilule pour les intimes, on se bouscule, à droite comme à gauche, pour rendre hommage à ce grand gaulliste qui avait réussi, en 1967, à faire adopter contre la majorité de son camp, la loi autorisant la contraception. François Hollande a salué, notamment, « un acteur déterminant de l’évolution de la société française ».

Il est vrai qu’avant Lucien Neuwirth, il n’y avait peu ou prou qu’une seule méthode, celle évoquée par Woody Allen : « Un petit mot sur la contraception orale… J’ai demandé à une fille de coucher avec moi et elle a dit non. »

Avec Lucien, tout a changé. Pour les laboratoires d’abord. Auxquels il a ouvert de formidables horizons insoupçonnés : le marché des gens bien portants. Pour la première fois, un médicament allait « soigner » un phénomène purement physiologique, une disposition naturelle et normale. Le champ des possibles, n’est-ce pas, devient dès lors infini ? Eux qui cantonnaient bêtement leurs recherches aux mal-foutus, aux souffreteux, aux accidentés. Mais si l’on peut bricoler aussi les mécaniques qui fonctionnent, alors…

Tout a changé pour les femmes aussi. Pour en finir avec la « peur de l’enfant », elles peuvent désormais « traiter » leur fécondité. Comme un diabète, un asthme chronique. Avec quelques petites contraintes, c’est le lot de toutes les affections au long cours. Selon l’IGAS (Inspection Générale des Affaires Sociales) : « La prise de la pilule pendant la durée de la vie féconde représente la gestion au quotidien de plus de 8.000 comprimés. » Avec la dose d’hormones de synthèse en proportion. Amis du « bio » et de la nature, bonsoir.

Et c’est là, dit-on, que depuis quelques années le bât blesse. Ce que l’on refuse pour le poulet dominical qui trône dans l’assiette, pourquoi se l’infligerait-on ? Le magazine Marie-Claire s’interrogeait déjà en mars 2011, avant même les scandales des pilules de 3e et 4e génération : « Air du temps oblige, des femmes veulent retrouver leur cycle “naturel”. Une sainte alliance écolo-catho est-elle en train de se nouer ? »

Et ce n’est pas tout. Les femmes, ces ingrates, n’étant jamais contentes, certaines soupçonnent Lulu la pilule — ainsi surnommé dès l’âge de 17 ans pour avoir découvert à Londres un contraceptif venu d’Amérique, la Gynomine, qu’il a ensuite généreusement distribué aux copains — d’avoir surtout fait le bonheur… des hommes. Déresponsabilisés (la gestion de la fécondité maîtrisée n’étant pas de leur ressort), déculpabilisés, tranquillisés, installés dans une relation libre-service pour laquelle tous les jours sont désormais ouvrés… tandis que leurs partenaires, comme le montre une étude publiée en 2010 par des chercheurs de l’université allemande de Heidelberg, verraient leur libido perturbée par la pilule de Lulu.

Bref, la pilule serait à la pharmacologie ce que Jeanne Moreau est au cinéma : un séduisant symbole de libération sexuelle en phase de grand déclin. Lucien Neuwirth, en somme, a tiré sa révérence juste à temps. Pour ne pas voir ça.

 

Boulevard Voltaire. La Liberté guide nos pas

http://www.bvoltaire.fr/

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mercredi, novembre 27 2013

Des experts font le lien entre Gardasil et sclérose en plaques: "VIOLATION D'UNE OBLIGATION MANIFESTE DE SÉCURITÉ"

Marie-Océane Bourguignon a reçu sa première injection de Gardasil, le vaccin du laboratoire Sanofi Pasteur contre le cancer du col de l'utérus, en octobre 2010. Elle avait 15 ans. Les picotements dans les jambes ressentis quelques jours après ne l'ont pas vraiment inquiétée. Les troubles survenus après la seconde injection furent en revanche plus sérieux. Marie-Océane a perdu la vue et l'usage de ses jambes pendant quelque temps. A l'hôpital, l'IRM a révélé des lésions neurologiques.

Au départ, les médecins ont hésité entre une encéphalomyélite aiguë et une sclérose en plaques, mais les experts de la commission régionale de conciliation et d'indemnisation des accidents médicaux (CRCI) de Bordeaux ont conclu à "une sclérose en plaques" et fait le "lien entre les deux injections de Gardasil et la survenue" de la maladie de l'adolescente.

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mardi, mai 21 2013

L’inquiétante hausse des infections sexuellement transmissibles

Source: La Libre Belgique (Laurence Dardenne) - Mis en ligne: 18/04/2013

Silencieusement, mais sûrement, les IST progressent dans notre pays. Signe d’un certain relâchement des comportements sexuels ? Parmi elles, l’infection à Chlamydia circule surtout parmi les jeunes. A leur insu.

Subrepticement mais sûrement, en forte et constante progression, les infections sexuellement transmissibles (IST) poursuivent leurs ravages dans notre pays La tendance n’est certes pas neuve, mais elle se confirme, et de manière inquiétante. Au point de justifier le lancement d’une campagne de sensibilisation à la plus répandue des IST, l’infection à Chlamydia. En Belgique, par extrapolation, un jeune sur vingt serait infecté par cette maladie largement sous-diagnostiquée, selon la Plate-forme Prévention Sida et Sida SOS, à l’origine de l’initiative.

De 1 064 cas signalés en 2002 via les laboratoires vigies de l’Institut scientifique de santé publique (ISP), on est passé à 3 762 signalements en 2011, dont 2 393 femmes et 1 369 hommes, avec un âge moyen de 26 ans pour les premières et de 31 ans pour les seconds. De 2010 à 2011, l’augmentation s’élevait à 15 %, ce qui correspond à la progression moyenne annuelle au cours de la dernière décennie.

Si le groupe d’âge le plus touché se compose de jeunes femmes entre 15 et 25 ans, la population générale est concernée : femmes et hommes, d’orientation sexuelle hétérosexuelle ou homosexuelle. La multiplicité des partenaires est toutefois un facteur de risque important, au même titre que le fait d’avoir contracté une IST dans le passé et de ne pas porter de préservatif.

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jeudi, mai 3 2012

Pourquoi constate-t-on autant d’échecs de contraception ?

Pour des raisons évidentes et que tout le monde connaît... et pour d'autres moins connues ou acceptées, et qu'il est pourtant indispensable de savoir !

I – Aucun moyen de contraception n'est fiable à 100%

II – Les conditions d'utilisation n'ont pas été respectées

III – Notre sexualité porte en elle  profondément l'appel de la vie !

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mercredi, janvier 4 2012

Cancer du col : vaccin ou pas ?

La question revient. Des mesures de vigilance existent, selon Fadila Laanan.

Avec une certaine régularité paraissent des études scientifiques mettant en cause non seulement l’efficacité mais aussi l’innocuité du vaccin contre le cancer du col de l’utérus, preuve que les certitudes sur ce délicat sujet ne font pas encore l’unanimité au sein du monde médical, ce qui a, en toute légitimité, lieu d’inquiéter le public concerné. Ainsi, tout récemment, l’une d’elles soulignait que, non seulement l’efficacité des vaccins anti-HPV (papillomavirus humain) dans la prévention des cancers du col n’avait pas été démontrée et que les risques demeuraient incomplètement évalués mais qu’en outre, "la liste des effets secondaires graves liés à la vaccination mondiale anti-HPV inclut des décès, convulsions, paresthésies, paralysies, syndromes de Guillain-Barré, myélites transverses, paralysies faciales, syndromes de fatigue chronique, anaphylaxies, maladies auto-immunes, thromboses veineuses profondes, embolies pulmonaires et autres cancers du col de l’utérus". Une énumération qui se base sur plus d’une centaine d’études scientifiques. La publication de cette étude canadienne - qui n’a pas échappé à la vigilance du collectif Initiative citoyenne toujours prompt à informer les médias - remet sur le tapis, une fois encore, la controverse qui n’est certes pas neuve et dont nous avons déjà largement fait écho. De quoi susciter une réaction de la part de la ministre de la Santé de la Fédération Wallonie-Bruxelles, Fadila Laanan (PS), alors que le vaccin sera proposé gratuitement à quelque 26 000 jeunes filles dans les écoles de Bruxelles et de Wallonie. "Il existe des mesures de vigilance, a simplement répondu, mardi, la ministre socialiste. Par rapport aux risques qui restent à évaluer, "on ne souhaite pas intervenir dans ce débat scientifique", a encore déclaré à l’agence Belga le cabinet de la ministre Laanan. Pour l’heure, en l’absence d’éléments nouveaux susceptibles d’amener à reconstituer le rapport risques/bénéfices, les recommandations du Centre fédéral d’expertise des soins de santé (KCE), restent donc bel et bien de mise. Pour sa part, la ministre de l’Enseignement obligatoire, Marie-Dominique Simonet (cdH), n’a pas non plus souhaité réagir, "la campagne de vaccination étant du ressort de la ministre de la Santé".

La Libre Belgique

Mis en ligne le 04/01/2012

 

Commentaire de RYL:

Comment concilier "mesures de vigilance" et "risques qui restent à évaluer"?

Le principe de précaution n'est-il pas peut-être sacrifié au nom de la rentabilité?

Le mot d'ordre reste trop souvent dans ces domaines complexes "J'agis, et puis je réfléchis"

 

lundi, septembre 26 2011

26 septembre 2011: journée mondiale de la contraception

20 000 IVG en Belgique, dont 3200 concernant les 13 à 20 ans.

(infos RTL journal télévisé de 19 heures www.rtlinfo.be )

Urgent de se poser les bonnes questions à propos de la prévention! La nouvelle pilule contraceptive des laboratoires Mithra, disponible sans doute en 2015, résoudra-t-elle tous les problèmes? Il serait bien naïf de le croire....ou d'attendre aussi longtemps. Osons regarder le dossier "éducation affective des jeunes" dans son entièreté, et dégager des pistes pour une "éducation à la vie relationnelle, affective et sexuelle" de qualité

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lundi, juin 20 2011

Les effets nocifs de la pilule sur le désir des (très) jeunes filles…

Selon Catherine Solano, dans son nouvel ouvrage « Les trois cerveaux sexuels. Entre pulsion, émotion et réflexion : comment vivre sa sexualité » (éd. Robert Laffont), la pilule ne serait sans doute pas la contraception idéale pour les jeunes-filles au début de leur vie sexuelle, ou du moins, pas trop tôt.

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samedi, mai 14 2011

« Les jeunes ont au plus profond d’eux-mêmes le désir de donner du sens à leurs actes »

Pass contraception

Article paru in Le Figaro, 29 avril 2011, par J-E Tesson

Le président du Cler prend part au débat sur le dispositif mis en place en Ile-de-France.

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lundi, février 14 2011

Ce scandale écologique dont on ne parle pas : la pilule

Voici un remarquable article publié par Mercator Net, réseau de site australien de défence de la vie et de la famille, sous la plume de Cristina Alarcón, tant par les informations qu'il apporte que pour la pertinence de son analyse. Je vous en propose ici la traduction intégrale. L'auteur fournit des liens vers les nombreux articles et études scientifiques sur lesquels elle appuie son développement ; vous les trouverez aisément dans la version anglaise sur www.mercatornet.com. Cette pharmacienne, également enseignante à l'Université de British Columbia, détient un master en bioéthique de l'Université de Navarre en Espagne. Elle s'exprime régulièrement dans les médias sur le respect de la vie et les droits de la conscience des professionnels de la santé – JS.

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samedi, février 5 2011

Davantage d’Infections Sexuellement Transmissibles suite à la pilule du lendemain

Agence Belga 30/01/2011 - Publié dans le journal « Nieuwsblad » 04/02/2011

 

Le nombre de grossesses chez les adolescents ne diminue pas si la pilule du lendemain est en vente libre, et qui plus est, le nombre d’IST augmente. C’est la conclusion qu’ont tirée des professeurs de l’Université de Nottingham dans une étude qui sera bientôt publiée dans le « Journal of Health Economics » sur base de chiffres récoltés en Grande-Bretagne, annonce le Sunday Times.

Les professeurs ont comparé les régions où la pilule du lendemain est en vente libre dans les pharmacies, avec celles où on ne peut l’obtenir qu’avec prescription. Les enquêteurs ont conclu que le nombre de grossesses indésirées en-dessous de 16 ans est resté stable ces 10 dernières années, mais que le nombre des IST a augmenté.

“La mise à disposition libre et gratuite de la pilule du lendemain rate son but de diminuer le nombre de grossesses indésirées” conclut le professeur David Paton. « L’augmentation du nombre d’IST comme effet secondaire est la conséquence logique d’une plus grande prise de risques sexuels. »

Ces données chiffrées qui seront bientôt publiées dans la revue scientifique, montrent une augmentation de 12% des IST chez les jeunes de moins de 16 ans dans les régions où la pilule du lendemain est en vente libre. Le nombre d’infections des voies génitales ou urinaires dans la catégorie des seize à dix-neuf ans, a augmenté de 46.856 en 2003 à 58.113 en 2007.

(Traduction RYL)

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lundi, mai 4 2009

"Et si on s'aimait vraiment?"

 

Jason Evert sillonne depuis de nombreuses années les Etats-Unis pour rencontrer les jeunes pour répondre à leur innombrables questions sur l’amour et la sexualité. Auteur de plusieurs livres sur l’éducation affective des jeunes, il a un véritable charisme et sait toucher le cœur des adolescents. Il répond ici à une question qui a secoué l’actualité ces derniers temps.Voir aussi ses vidéos où il témoigne sur You Tube.

 

Le préservatif n’empêche-t-il pas d’attraper des MST ?

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lundi, mars 30 2009

Le préservatif résoudra-t-il le drame du sida ?

Quelques éclaircissements sérieux mais pas assez médiatisés

 

LE  PRESERVATIF : OUI, MAIS...

En 3 minutes, le p. Jean-Benoit renvoie dos à dos les POUR et les CONTRE le préservatif avec une réponse qui tranche le débat.

http://www.youtube.com/watch?v=PdjSd9TvhhA

 

Le Pape a scientifiquement raison

Du directeur du Projet de recherche sur la prévention du sida à l'université de Harvard aux Etats-Unis, Edward C. Green : 22 mars 2009

 

"Le Pape a raison. Ou pour répondre plus précisément : les meilleures données dont nous disposons confirment les propos du Pape. Il existe une relation systématique, mise en évidence par nos meilleures enquêtes, y compris celles menées par l’organisme “Demographic Health Surveys” financées par les Etats-Unis, entre l’accès facilité aux préservatifs, leur usage plus fréquent et des taux d’infection par le virus du sida plus élevés, et non plus faibles. Cela pourrait être dû en partie au phénomène connu sous le nom de “compensation du risque”, ce qui veut dire que lorsque l’on a recours à une “technologie” de réduction du risque comme le préservatif, l’on perd souvent le bénéfice lié à la réduction du risque par une “compensation” qui consiste à prendre davantage de risques qu’on ne le ferait en l’absence de technologie de réduction du risque."
Autrement dit, le recours au préservatif encourage à adopter des conduites à risques.

« Les jeunes n'ont pas besoin d'adultes qui leur distribuent des préservatifs et des pilules. Il y en a déjà suffisamment. Ce qu'ils cherchent c'est des adultes heureux dans leur sexualité et qui les aident à vivre des relations vraies », (Fédération Africaine d’Action Familiale. 27/03/2009)

Résumons : non, l’Eglise ne revient pas sur sa position fondamentale, mais dit clairement qu’on ne peut pas faire abstraction du préservatif comme un moyen parmi d’autres pour endiguer l’épidémie. (Elle) admet donc l’efficacité prophylactique du préservatif à condition de l’associer à d’autres facteurs. (la libre Belgique. 27/03/09)

Dans un article intitulé "Eglise et sida", il était précisé que le préservatif était efficace "à 97 pc contre l’infection, dans les meilleures conditions d’utilisation et à 87 pc dans des conditions telles qu’on en trouve en Afrique". Et de faire référence à l’Ouganda où le gouvernement a lancé des campagnes dites ABC : "A comme abstinence, B comme fidélité (Be faithful) et C comme condom".(idem)

Le pape Benoît XVI "a mis l'accent sur l'éducation à la responsabilité",a expliqué le cardinal Lombardi.L'Eglise estime que "développer une idéologie de confiance dans le préservatif n'est pas une position correcte"(Lemonde.fr. 18/03/2009)

« Le pape n’a pas voulu dire que cela aggravait en soi. Il a dit que sans une responsabilisation de tous, cela donnerait une fausse illusion de régler les causes de cette terrible maladie »( Eric de Beukelaer. Porte-parole des évêques de Belgique. Chat sur RTBF.be jeudi ../03/2009-16h16)

jeudi, janvier 1 2009

Love Génération

Noël approche..et nous voyons arriver un nouveau-né dans le paysage de l'éducation affective en Belgique: Love Génération

"A quoi ça sert d'être libre si ce n'est pas pour aimer?"

Voilà une question essentielle! Sur fond de passe d'armes entre ancien professeur réputé et jeune ex-élève brillante, nous voici proposé un débât qui mérite d'être approfondi.

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dimanche, novembre 30 2008

Sida et écologie humaine

Sida : et si on se tournait enfin vers une vraie écologie humaine ?

 

 

1er décembre : journée mondiale de lutte contre le sida.

 

L’occasion de saluer l’effort immense fait par nombre de personnes dans notre pays, et entre autres la « plateforme prévention sida ». Leur objectif est double : lutte contre la discrimination et prévention. Deux buts éminemment louables !

Mais si le premier semble faire de grands pas en avant et atteindre sa cible, nous nous posons de graves questions sur l’aspect prévention.

En effet, non seulement le sida n’a pas sensiblement diminué en Belgique depuis 2003, mais les infections au VIH ont même augmenté de 8% entre 2001 et 2007.

On ne peut incriminer un manque d’information ou de sensibilisation, car les campagnes à destination des jeunes se sont courageusement multipliées.

N’y a-t-il donc rien à faire ? Loin de nous un pareil défaitisme !!!

 

 

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mercredi, décembre 26 2007

Contraception et cancer du col

Vendredi 09 Novembre 2007

Le dira-t-on aux femmes? La contraception orale et cancer du col de l'utérus: étude du Lancet.

 

Le Lancet vient de publier une étude démontrant que les contraceptions orales accroissent le risque de cancer du col de l'utérus.

 

Cette étude Internationale a été menée par Oxford sur 52.000 femmes qui ont participé à 24 études à travers le monde.

 

L'étude a démontré que le risque augmentait selon la durée de prise de la contraception orale. Les femmes ayant pris une contraception orale pendant 5 ans ont deux fois plus de risques de développer un cancer du col de l'utérus que les femmes ne l'ayant jamais prise. 10 ans après que les femmes aient arrêté de prendre une contraception orale, les risques sont les mêmes que pour les femmes ne l'ayant jamais prise.

 

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