Pour des raisons évidentes et que tout le monde connaît... et pour d'autres moins connues ou acceptées, et qu'il est pourtant indispensable de savoir !

I – Aucun moyen de contraception n'est fiable à 100%

Tous les gynécologues le disent quand on les interroge, et les chiffres sont là : aucun moyen de contraception n'est fiable à 100%, même en cas d'utilisation optimale.

II – Les conditions d'utilisation n'ont pas été respectées

Souvent on  ne connait pas son corps, et on choisit son moyen de contraception sans connaître son mode de fonctionnement, sans savoir si c'est celui qui nous convient..Un oubli de pilule, un préservatif mal posé, et les conditions ne sont plus remplies !
Mais là, il faut s'interroger avec objectivité : pourquoi a-t-on « raté »ça ? Par simple fatigue, maladresse, la « faute à pas de chance » ? ou...à cause de la raison III ?

III – Notre sexualité porte en elle  profondément l'appel de la vie !

Il y a au coeur de toute personne humaine, et des femmes en particulier , cet appel à transmettre la vie qu'on a soi-même reçue. Cet appel, ce désir, est plus ou moins conscient , il est plus ou moins désintéressé (« en devenant Mère je vais exister , je vais compter »), mais il est profondément là : notre sexualité s'inscrit dans la grande histoire de l'Humanité, dans l'appel de la Vie !
« vos enfants ne sont pas vos enfants, ils sont les fils et les filles de l'appel de la Vie à elle-même »-Khalil Gibran-

En conclusion,

Ce n'est pas la même chose de vivre une relation sexuelle en se disant qu'il n'y aucune chance de tomber enceinte, ou de se poser avec objectivité la question de la vie qui peut naître de cette union, (même si la probabilité que cela arrive est peut-être extrêmement faible).

Alors, bien sûr, étant donnée la législation actuelle, on pourrait penser que la « pilule du lendemain » règlera la solution, mais prendre cette pilule, c'est :

1.    accepter une efficacité qui n'est que d'environ  « 75% des cas, d'autant plus que les pilules seront prises précocement » (vu sur le site de doctissimo)

se balancer dans le corps des quantités d'hormones ahurissantes (à l'heure pourtant d'une nécessaire prise en compte écologique, bonjour la planète  !)

ne pas savoir si on a arrêté le processus d'une nouvelle une vie (rappel : toute l'information vitale est présente dans le noyau de la cellule qui naît de la rencontre de l'ovule et du spermatozoïde, donc dès l'instant de la conception )

Pire, on pourrait également envisager la perspective d'une IVG , mais :

1.    « l'avortement doit rester l'exception, l'ultime recours pour des situations sans issue..Comment le tolérer sans qu'il perde ce caractère d'exception ? sans que la société paraisse l'encourager ? » disait Mme Simone Veil !

la réalité d'une IVG (Interruption Volontaire de Grossesse) porte en elle une question existentielle et fondamentale, et, à plus ou moins long terme, des répercussions multiples qu'on ne peut pas envisager avec légèreté. Consultez le site IVG.net.

=> ne serait-il pas préférable, plutôt, de bien réfléchir avant ?

« Est-ce que c'est le bon moment pour une union sexuelle ? Est-ce que cette union des corps est vraiment le signe de l'union de nos coeurs et de nos valeurs (cf vidéo)? Est-ce que ce sera le « sommet » de notre amour ? Est-ce que nous avons réfléchi à l'arrivée possible d'un enfant, à ce que nous ferions dans ce cas ? » Etc..etc...

CELA, C'EST  VIVRE UN  AMOUR  RESPONSABLE

www.passamour.org