Nous sommes profondément d’accord avec madame Arena pour convenir qu’il est INDISPENSABLE d’apprendre aux jeunes le respect de l’autre et le respect de la différence ! C’est essentiel ! Néanmoins, ne sommes-nous pas dans ce domaine en train de passer d’un extrême à l’autre ? En nous braquant sur certaines dérives, sommes-nous assez prudents et ne risquons-nous pas de provoquer d’autres effets pervers ? (Nous pensons entre autres à la multiplication, en éducation affective, des questions angoissées de jeunes adolescents, qui traversent pour beaucoup d’entre eux, une période d’homosensualité normale à cet âge et qui, sous la pression de certains discours de société, se demandent avec anxiété s’ils sont pour autant définitivement homosexuels.) Soyons donc prudents et nuancés, pour que la protection d’une minorité n’entraîne pas la déstabilisation d’une majorité, et que le respect des uns ne constitue pas un non-respect des autres.

 

Le mail

“Ceci n'est PAS une plaisanterie, j'ai vérifié les liens, ils conduisent bien à Maria Arena via l'Administration Générale de l'Enseignement et de la Recherche Scientifique. La Wallonie n'est PAS au bord du gouffre. La Wallonie est DANS le gouffre !


Mais en fait de démocratie : Qui donc a voté pour Maria Arena ?
A lire absolument !


Voilà encore une atteinte au bon sens et aux bonnes moeurs par... malheureusement une femme... Hallucinant ! Et le pire c'est que c'est vrai. Il n'est que de cliquer sur les liens ci-dessous pour vérifier.... On le sait, depuis l'ère Onkelinx, l'enseignement en Wallonie s'enfonce chaque jour davantage dans la médiocrité et la bêtise. Et ce n'est pas la calamiteuse Marie Arena qui va inverser la tendance. Voici un exemple récent.


Dans un article intitulé "Gays et lesbiennes à la maternelle ?", le journal Vers l'Avenir s'étonne d'une circulaire envoyée dernièrement par la ministre de l'enseignement aux directeurs des écoles maternelles et primaires.En substance, Maria Arena préconise de ménager un climat scolaire positif et ouvert par rapport à la multiplicité des identités sexuelles.
Et Arena de poursuivre dans son charabia habituel: l'école doit remplir cette mission citoyenne afin de favoriser l'inter-culturalité et l'inclusion sociale. Autrement dit, l'école doit attacher de l'importance aux développements des habilités cognitives et émotionnelles des homosexuels, des lesbiennes, des bisexuels et -last but not the least - des transsexuels...


Pour parler clairement, les enfants doivent désormais inclure la question de l'alter-sexualité dans leur pratique pédagogique quotidienne. Pour les aider dans cette tâche hautement prioritaire, la communauté française a édité un guide soigné et copieux, deux fois plus volumineux que celui fixant les missions générales de l'école et définissant les socles de compétence.


Dans ce guide de 144 pages, Maria Arena nous propose différentes pistes Pédagogiques.
Ainsi l'instituteur doit désormais mettre à la disposition de nos bambins des romans de jeunesse ayant des personnages homosexuels. Dans le cours de français, une question ne doit pas nécessairement porter sur le fait que Jean et Nathalie achètent ensemble une maison, mais plutôt Jean et Pierre.
Au cours d'histoire, l'enseignant doit accorder de l'attention à l'histoire de la sexualité en général et de l'homosexualité en particulier. Par ce biais, il s'agit de découvrir la diversité des vécus homosexuels et bisexuels. Le guide insiste sur le fait qu'il ne faut pas occulter les allusions à l'homosexualité, à la pédérastie ou au saphisme dans certains textes. Au cours de géographie, Arena recommande d'aborder la formation des quartiers gay et lesbiens dans les grandes villes américaines. Dans le cours de néerlandais, l'instituteur doit glisser dans un exercice de traduction une petite phrase du genre Isabelle habite déjà depuis dix ans avec Valérie.
Encore plus fort, Arena révolutionne carrément l'apprentissage des mathématiques dont les notions principales peuvent être découvertes à partir de données concernant l'homosexualité. Celles-ci pourraient être récoltées par les élèves en réalisant une enquête.... Dernier exemple: lors d'ateliers transdisciplinaires, les élèves sont invités à se mettre dans la peau de personnes lesbigay dans leur vie quotidienne.Je pourrais multiplier les exemples presque à l'infini tant l'imagination d'Arena dans ce domaine apparaît sans limite. Par ailleurs le coming-out des enseignants homosexuels en classe est vivement encouragé dans la mesure où il offre aux élèves la possibilité de s'identifier à un modèle.


Et pour terminer sur un gros gag : en fin d'ouvrage de 144 pages, la liste d'Aréna reprend les célébrités ayant une orientation homosexuelle ou bis-sexuelle. Et je vous jure que c'est vrai, dans cette liste, Elio Di Rupo y figure aux côtés de Platon, d'Alexandre le Grand, de Jules César et de nombreux papes supposés être tous homosexuels....


Tout cela serait franchement risible et grotesque si l'avenir de nos enfants n'était pas en jeu.


Conclusion, on peut raisonnablement s'interroger sur les motivations réelles de cette circulaire ministérielle. Certains mauvais esprits pensent que, sous couvert de combattre l'homophobie dans les cours de récréation, Arena et son mentor Di Rupo veulent en fait lancer une campagne publicitaire visant à promouvoir l'alter sexualité chez nos enfants. Si c'est vrai, en quoi nos dirigeants s'autorisent-ils à imposer leurs préférences sexuelles à nos bambins ? Ces considérations n'ont rien à faire dans une classe de maternelle ou de primaire!

Sources:


 La Circulaire
 Le Guide pédagogique «Combattre l'homophobie, pour une école ouverte à la diversité»
 www.enseignement.be Références à ce guide pédagogique