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éducation affective

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mercredi, août 17 2011

La Coalition Internationale de la Jeunesse défie l’approche des Nations Unies sur la sexualité des jeunes.

Malgré leur frustration face aux partisans de la liberté sexuelle pour les jeunes, majoritaires à conférence de l’ONU, les membres de la Coalition ont espoir que, grâce à un véritable dialogue, leurs pairs comme leurs aînés tiendront compte de leur appel à soutenir la famille et une responsabilisation personnelle accrue des jeunes dans le domaine de la sexualité.

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jeudi, août 11 2011

Une majorité sexuelle qui arrive trop tôt ?

"On sexualise les ados trop tôt. C'est plutôt à partir de 18 ans, que les repères en matière de sexualité sont plus clairs" affirme Alain Héril. Il est d'ailleurs intéressant de noter que l'âge de la majorité sexuelle varie selon les pays.

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dimanche, février 13 2011

Education affective et sexuelle : quel défi pour demain?

« Quels sont les repères dont les jeunes ont plus particulièrement besoin aujourd’hui pour pouvoir vivre leur sexualité de façon saine et équilibrée arrivés à l’âge adulte, pour pouvoir s’engager dans une relation stable ? »

Derrière cette question centrale, il y en a une autre souvent moins aperçue : « Quels sont les repères dont les formateurs ont besoin aujourd’hui pour vivre leur sexualité de façon saine et équilibrée, et donc pour pouvoir s’engager dans cette tâche très délicate de l’éducation à l’amour ? »

 

 

Lors d’une rencontre de la FAFCE (Fédération des Associations Familiales Catholiques en Europe) sur le thème « Education affective et sexuelle : quel défi pour la famille ? », l’un des orateurs invités, le père Olivier Bonnewijn, nous livrait des clefs précieuses pour la compréhension de notre époque. En analysant le formidable mouvement de transformation qui s’amorce, il nous incite à accueillir tous ces dons précieux, mais aussi à en discerner toutes les perversions possibles, pour ne pas transformer ces cadeaux en calamités.

 

En cette veille de St Valentin, l’équipe de « Respect Youth Love » voudrait vous partager cette réflexion qui rejoint le cœur de son engagement et de ses objectifs.

Elle en profite pour vous remercier de tout cœur pour l’intérêt que vous voulez bien porter à ce domaine, et de votre collaboration à cette réflexion si importante pour l’avenir.

 

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mardi, février 1 2011

Abstinence avant mariage et Bonheur?

Le journal américain "Journal of Family Psychology" publie une étude dirigée par Dean M. Busby, de l'université de Brigham dans l'Utal. Elle révèle tout simplement que les couples faisant preuve d'abstinence sexuelle jusqu'au mariage seraient plus heureux.

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mardi, décembre 8 2009

EDUQUER A LA SEXUALITE : IM-PERTINENT?

La FLCPF (Féderation laïque des centres de planning familial)

organisait ces 3 et 4 décembre une Université d’Hiver 2009 sous le titre

« EDUQUER A LA SEXUALITE : IM-PERTINENT ? De l’intime au politique . »

 

« L’éducation à la vie affective et sexuelle ne se limite pas à l’apprentissage de la fécondité et de la contraception, des conduites à risques ou des gestes techniques des relations sexuelles, mais inclut forcément une réflexion sur les valeurs et plus précisément sur la valeur que l’on donne ou que l’on prête à l’autre et à soi-même.

Investissant l’espace de l’intime, l’éducation à la sexualité est éminemment culturelle, sociale et politique. La société dans laquelle nous vivons nous conditionne en effet fortement, à travers les lois édictées, les images véhiculées par les médias et la culture, les discours religieux et moraux, voire à travers les règlements d’école, etc…

Le milieu familial et social, premier lieu d’éducation, nous inculque de façon consciente ou inconsciente les normes et les valeurs qui participeront à faire de nous des hommes et des femmes épanouis dans notre vie amoureuse et/ou sexuelle et respectueux de celle des autres…ou non.

Et parmi les multiples acteurs qui construisent nos connaissances, nos valeurs et in fine notre vie sexuelle et affective, les professionnels des centres de planning familial. En Communauté française de Belgique, ils ont en effet, notamment, pour mission d’organiser des activités de prévention, afin de préparer les jeunes à la vie affective, relationnelle et sexuelle et d’assurer l’information et de susciter la réflexion auprès des adultes, sur ce thème.

La FLCPF a voulu prendre le temps d’une réflexion large sur le sens de l’éducation à la sexualité au sein de la société. Et, à l’heure où les politiques envisagent de généraliser l’Education à la Vie Affective et Sexuelle (EVAS) à l’école, en questionner les objectifs, les influences et rôles  respectifs des différents acteurs, … et la pertinence.

Regards historique, anthropologique, philosophique, psychanalytique, politique sur l’éducation à la sexualité se » sont dès lors croisés de manière passionnante pendant ces deux jours…….

 

Remarquable initiative, faite d’éclairages importants, de contacts fructueux, de moments d’humour et de détente, et surtout d’excellentes questions posées ! Bon tremplin de réflexion pour une construction de l’avenir de ce domaine.

lundi, septembre 7 2009

La World Youth Alliance fête ses 10 ans et se penche sur les valeurs fondamentales de notre humanité!

The Human Project

Education for Life and Dignity

www.thehumanproject.eu

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mercredi, avril 1 2009

"The Pope is Right" Professeur Armand Lequeux

The Pope is right"

Prof. Armand Lequeux

La Libre Belgique -31/03/2009

J’ai fait un rêve. Michel Daerden était sobre ! Interrogé par des journalistes lors d’un vol Bierset-Gosselies, le ministre wallon de la sécurité routière lançait un gros pavé dans la mare consensuelle. "A mon avis, c’est papa qui vous le dit, les dispositifs de sécurité passive (ceinture, air bag, ABS, etc.) installés sur les véhicules ne diminuent pas l’hécatombe routière. Ils pourraient même contribuer à l’augmenter ! Les automobilistes font trop confiance à ces protections et roulent de plus en plus dangereusement. Il ne suffit pas de boucler sa ceinture, il faut lever le pied. Pas le coude, hein ! Allez, à votre bonne santé." Je me suis réveillé en imaginant la tempête médiatique que provoquerait un tel discours. L’industrie automobile serait encore assez puissante pour activer son lobbying et envoyer le maïeur d’Ans rejoindre Anne-Marie Lizin dans les catacombes du parti socialiste

Edward Green aussi était sobre le 23 mars dernier lorsqu’il a accordé une interview, disponible sur Internet, pour "Il Sussidario" et "The National Review On Line". Le Dr Green dirige le projet de recherche et prévention du Sida de l’Ecole de Santé Publique de l’Université de Harvard, aux USA. Il a osé dire "The Pope is right, le Pape a raison !!" Il affirme que le profil de l’épidémie de sida en Afrique a des caractéristiques spécifiques et que, dans certaines régions, la distribution de préservatifs est associée à une augmentation de l’incidence de la contamination par le virus HIV. En bon scientifique, il refuse d’établir une relation causale linéaire, mais il se pose des questions. La disponibilité accrue des préservatifs, sans accompagnement médico-psycho-socio-économique, n’inciterait-elle pas une population à prendre plus de risques ? Il cite des statistiques qui montrent que les programmes les plus efficaces sont ceux qui incitent les communautés de base à réfléchir à l’âge des premières relations sexuelles et au sens de la monogamie et non pas ceux qui se contentent de préconiser le condom. Après ce message iconoclaste du professeur de Harvard, la suite du débat relève de la responsabilité des experts de la santé publique en terre d’Afrique. Je ne cultive pas une dévotion particulière pour le "Panzer Papst" et la position romaine sur la bioéthique et la morale sexuelle provoque généralement en moi de vives manifestations allergiques, mais en l’occurrence, je me pose la question du bien-fondé de la récente tempête médiatique déclenchée par les propos de Benoît XVI. Il a osé ébranler le dogme de l’infaillibilité du préservatif et il a exprimé (en termes plus délicats, bien entendu) qu’il voyait les Africains autrement que comme des sacs de virus à emballer dans du latex et qu’il croyait dans leurs capacités à gérer leur sexualité dans la dignité. Si vous traitez de racaille à nettoyer au Kärcher les jeunes des banlieues, ils se conduiront en voyous. Si vous croyez que les Africains sont de grands enfants lubriques et irresponsables, ils risquent bien de vous donner raison. Les stéréotypes et les projections négatives sont des virus très puissants. Les meilleurs préservatifs n’arrêtent pas leur diffusion

Commentaire de RYL

Merci monsieur Lequeux de mettre votre compétence et votre humour au service du bon sens. Si le mouvement RYL s'appelait originairement "Responsible Young Lovers", c'était bien pour promouvoir l'image que vous employez. L'emploi de la ceinture de sécurité et des air-bags ne suffit pas à assurer la sécurité du jeune sur la route, et il est essentiel de lui apprendre également à (se) conduire. Nous espérons publier d'ici peu une étude belge qui confirme cette thèse dans notre pays également.

mercredi, février 18 2009

Père à 13 ans !

L'histoire d'un Anglais, supposé être père à l'âge de 13 ans, a lancé outre-Manche un débat sur la sexualité des adolescents. Un article du tabloïd britanniqueThe Sun, publié le 13 février, qui raconte la naissance d'une petite fille issue de la liaison de Chantelle Steadam, 15 ans, et d'Alfie Patten, a provoqué une émotion populaire et fait réagir toute la presse et la classe politique anglaises.

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lundi, novembre 3 2008

Premières relations sexuelles

La sexualité se banalise : les premières relations sexuelles, est-ce toujours aussi important qu'autrefois ?

C'est toujours aussi important, la preuve c'est que l'âge moyen des premières relations n'a pas tellement baissé : c'est toujours 17 ans en moyenne pour les garçons et 17 ans ½ pour les filles. En revanche, du fait des médias notamment, il est vrai que nous baignons dans un monde où les messages sexuels sont très forts ce qui augmente les causes d'excitation et fait de nous, en quelque sorte, des voyeurs.
D'autre part, la pornographie a une telle influence, en particulier chez les garçons, que beaucoup finissent par réduire la sexualité à ces images. Ils ont en tête des représentations qui ne correspondent pas au réel, par exemple l'idée que l'homme doit soumettre la femme, ou qu'il faut "jouir", c'est le mot qu'ils emploient, de façon extrême. Chez certaines filles, on voit aussi apparaître un courant "Lolita", séductrices "jusqu'au bout des ongles", qui cherchent à attirer par leur corps. A chaque fois, c'est une vision de la sexualité qui semble réductrice.

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samedi, octobre 11 2008

Education sexuelle et projet éducatif

En France, un collectif de parents est révolté par les messages proposés à leurs enfants lors d'un cours d'éducation sexuelle. Ce genre d’incident et de tension entre le projet éducatif d’une école, qui reflète le désir majoritaire des parents, et l’animation à la vie affective proposée dans cet établissement français, devrait nous rendre prudents dans nos décisions d’avenir en Belgique.

Il est essentiel que chaque école puisse choisir les animateurs à la vie affective et sexuelle dont le discours corresponde au projet éducatif de cette établissement.

Les parents sont et restent les premiers éducateurs de leurs enfants, et devraient avoir un droit de regard sur ce qui est proposé dans les écoles à ce sujet.

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lundi, avril 7 2008

"Guide du Respect"

Le « Guide du Respect » : quelle vision de la sexualité ?

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dimanche, mars 9 2008

Exposition "le Zizi Sexuel" (Paris)

PARIS Petite réflexion à l’occasion de notre récente visite à Paris de l’exposition sur 

« Le zizi sexuel »

Le côté ludique et attrayant de cette initiative  est évident, et fait son succès auprès des jeunes. La sexualité y est représentée sans tabous. Plus encore que sur les messages véhiculés, qui sont une moyenne acceptable de ce que propose notre société comme vision dans ce domaine, nous nous sommes centrés sur les réactions des enfants qui y circulaient.

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dimanche, mai 27 2007

Philippe van MEERBEECK

Psychiatre et psychanaliste, professeur à la faculté de médecine de l’UCL, auteur de nombreux livres sur l’adolescence.

«Je pense peu de bien de cette campagne. Je me bats depuis 20 ans contre ce type de « prévention » que j’estime naïve, inefficace, médicalisante et finalement toxique. Si cette brochure peut éventuellement être de quelque utilité à des jeunes de 16-17 ans, pour des enfants de 13 ans, elle tend plutôt à susciter ce qu’elle prétend combattre!

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mercredi, mai 23 2007

Christine HAYOIS - LIMPENS : Laura brûle les étapes

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lundi, mai 14 2007

Dr Nicole ATHEA - Parler de sexualité aux ados

Eyrolles 2006

p.5 Arrivée du sida et d’une vision hygiéniste de l’éducation sexuelle … «A la recherche de sens sur les comportements se substituait une attitude hygiéniste du point de vue de la santé et permissive du point de vue de la sexualité.»

 

p.7«Les adolescents ont des besoins en matière d’éducation à la sexualité… Les images à connotation sexuelle au milieu desquelles ils vivent, diffusent des messages implicites qui, s’ils ne sont jamais décodés, sont cependant absorbés. Nous nous devons, en tant qu’adultes, de faire contrepoids à ces messages, car ils véhiculent de nouvelles normes sociales.

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